One Thing In A French Day

C’est bientôt l’anniversaire de Micaela, elle va avoir huit ans. Elle a invité des amies pour une fête d’anniversaire dimanche prochain. Nous avions préparé les invitations il y a trois semaines. Et cela fait trois semaines que je me demande comment je vais occuper dix petites filles pendant trois heures. Bien sûr, nous allons jouer aux œufs qui ont eu beaucoup de succès l’année dernière, nous allons manger le gâteau, j’espère que mon amie Gabriella va nous écrire une histoire (elle écrit une histoire avec comme personnages les invitées de Micaela), mais ensuite ? Ensuite ? La suite du texte est dans la neswletter, abonnez-vous!

Vendredi dernier, notre facteur avait posé une petite affichette en bas de notre escalier annonçant sa venue pour les vœux le lundi 18 novembre. C’est l’occasion pour lui de nous remettre un calendrier et de recevoir nos étrennes. Hier soir, à 19 heures, je suis partie à mon cours de danse, en retard comme d’habitude, alors que toute la famille était à table, et j’avais totalement oublié la venue du facteur. Ce n’est qu’à mi-chemin, que tout à coup j’y ai pensé : « Ah, le facteur, on n’en a pas parlé ! » LA SUITE DU TEXTE EST DANS LA NEWSLETTER, ABONNEZ-VOUS!

Hier soir, mon mari et moi avons regardé la télé. Cela nous arrive de temps en temps, surtout en rediffusion. Nous avons regardé le troisième épisode de la série de Jane Campion, Top of the lake. ça me plaît bien. Bien sûr, c’est un peu glauque, c’est policier, mais l’héroïne est intéressante et les paysages de la Nouvelle-Zélande sont une découverte. L’épisode terminé, nous avons retrouvé à l’image l’écran de navigation de Arte+7 qui permet de revoir pendant une semaine ce qui est passé sur la chaîne Arte. Et là, je vois dans la liste des programmes le titre d’un documentaire «Nous, Princesses de Clèves».La suite du texte est dans la NEWSLETTER, abonnez-vous

Ce matin, Micaela et Felicia participaient à leur atelier de cuisine mensuel chez mon amie Isabelle, la naturopathe. Après les avoir accompagnées, Lisa et moi sommes rentrées à la maison. Je lui ai proposé de jouer au train. L’idée l’a enthousiasmée et elle a couru chercher la boîte du train. Bien sûr, ce n’est pas le train électrique de Micaela, mais un train en bois avec des rails, une gare routière, une route, quelques voyageurs et deux passages à niveau.

Ce matin, c’était reparti pour les crêpes ! Une amie m’a dit que j’étais comme une maman américaine qui prépare des pancakes tous les matins pour le petit-déjeuner de ses enfants. Peut-être ! mais ça me fait plaisir de voir le petit moineau Felicia manger plus de crêpes de que sa grande sœur ! Depuis le test du lait de noisettes, j’ai définitivement choisi le lait de riz. Mes crêpes sont donc au lait de riz et à la cannelle. LA SUITE DU TEXTE EST DANS LA NEWSLETTER, ABONNEZ-VOUS!

Ah, ah, enfin ! Depuis le temps que Natasha me le proposait ! j’ai enfin pu l’accompagner au Salon du chocolat. J’ai enfin pu découvrir, déguster et acheter du chocolat que je n’aurais pu trouver nul par ailleurs. Le salon se tenait la semaine dernière à la porte de Versailles. Nous y sommes allées jeudi dernier pour éviter la foule du week-end. Françoise et sa fille étaient également de la partie. Le salon était sur deux niveaux : au rez-de-chaussée, la confiserie et au premier, le chocolat. C’est le chocolat qui nous intéressait, nous sommes allées directement au premier étage.

Hier soir, Micaela, notre voisine Maria et moi sommes allées au cinéma voir le documentaire Sur le chemin de l’école. Ce documentaire vient de sortir, il montre le chemin que prennent quatre enfants pour aller à l’école, un jeune Kenyan, une jeune marocaine, un jeune Indien et un jeune Patagonien. De la maison, à l’école, et cela n’a rien à voir avec notre quotidien en France. Micaela était très heureuse de sortir le soir comme une grande.

Pendant que nous étions en vacances, un peintre est venu chez nous effectuer les travaux de peinture, dans notre salle de bains et dans notre cuisine, nécessaires après la fuite d’eau. Vous vous souvenez, c’était Caroline qui m’avait fait comprendre qu’il y avait une fuite entre l’appartement de nos voisins du dessus et le nôtre. C’était en janvier 2012. Notre assurance a pris en charge les travaux, mais il a fallu attendre de long mois pour que les plafonds soient bien secs. Un peintre passait régulièrement avec un appareil mesurer l’humidité des plafonds. Ensuite, il a fallu trouver une date, les travaux devant s’étaler sur une semaine.

Dans notre gîte, il y avait une abondante documentation touristique sur la région et un plan de la ville de Cluny où se trouvent les vestiges d’une abbaye. — Si on allait à Cluny demain ? ai-je proposé à mon mari en entendant à la radio que la météo serait belle le lendemain. Nous y sommes donc allés le mercredi. Il faisait beau comme prévu. Après un petit voyage agréable, nous nous sommes garés à l’extérieur de la vieille ville, tout près des haras nationaux. Nous avons pu apercevoir quelques chevaux et Micaela aurait préféré aller voir les chevaux plutôt que des vieilles pierres, mais la visite n’était pas possible ce jour-là.

Avant de partir en vacances, je m’étais acheté le magazine Marie-Claire idées dans lequel j’ai trouvé une série de réalisations en tricot à faire par des enfants, au point mousse. Le point mousse, c’est exactement mon niveau en tricot. Avant de partir, j’ai retrouvé mes petites aiguilles à tricoter et je les ai glissées dans ma valise. A Mâcon, nous avons trouvé un magasin de laine et j’ai pu acheter quelques pelotes. Les filles étaient excitées comme des puces ! — Tu sais tricoter ? me demandait Micaela toutes les cinq minutes. Et tu commences quand ? Et tu vas faire quoi ?

Samedi dernier, après le cours de danse à Barbès, Felicia, Micaela et moi avons rejoint mon mari, Lisa et notre Bouton d’or au pont de Levallois pour le départ en vacances. Direction, le Beaujolais, la région viticole située au nord de Lyon. Après un peu plus de quatre heures de route, nous avons pris la sortie de l’autoroute au niveau de Mâcon. De là, nous avons pris la direction du village de Juliénas.

Je crois qu’il y a quand même quelque chose avec les films de Woody Allen. Cela tient sans doute au fait qu’il y en a un par an. C’est rassurant et cela devient un rendez-vous. Je dirais même un rendez-vous entre amis. Par exemple, mon voisin Jacques va voir les films de Woody Allen avec la même amie depuis bientôt trente ans. Et il n’ira sans doute pas voir un de ses films sans elle. Lorsque j’ai vu que le dernier Woody Allen passait dans mon quartier, j’ai contacté Isabelle, la maîtresse de petites sections des filles, pour lui proposer d’aller le voir. C’est avec elle que j’ai vu les derniers Woody Allen.

Ce matin, nous sommes le lendemain du grand jour. Ah, j’ai bien ri quand même ! J’ai raconté ça hier soir à mon mari. — J’attendais dans salle d’attente en lisant un magazine. Et j’ai pensé que le dentiste allait me dire « Alors, c’est le grand jour ? » parce que je l’ai entendu dire ça à d’autres patients. — Et alors ? m’a demandé mon mari. — Eh bien, ça n’a pas loupé. Il est arrivé, il m’a serré la main et il m’a dit « alors, c’est le grand jour ? ». Je suis entrée dans le cabinet et son assistante m’a dit la même chose : « alors, c’est le grand jour ? » Mais, je ne suis plus une ado, ça a moins d’importance.

Ce matin, Micaela et Felicia étaient toutes belles, elles portaient des vêtements spécialement choisis pour une occasion particulière a la photo de classe. Micaela portait une robe à rayures horizontales et à volants et Felicia portait son nouveau gilet fétiche, un gilet réversible. Après le petit-déjeuner (des crêpes !), j’ai coiffé les trois chipies. Et quand j’ai regardé l’heure pour savoir où nous en étions, j’ai été surprise. Nous étions super en avance ! J’ai rempli les gourdes des filles, pensive. Je savais que si nous nous mettions à ralentir, nous allions être en retard. C’est toujours comme ça ! LA SUITE DU TEXTE EST DANS LA NEWSLETTER, ABONNEZ-VOUS!

Ah, ce midi, j’ai couru pour être à l’heure ! J’avais rendez-vous avec mon amie Natasha et mon amie Françoise chez Jacques Genin à treize heures trente. J’ai pris le train jusqu’à Saint-Lazare, puis la ligne 3 jusqu’à République. Je suis arrivée sur place à trente-cinq et j’étais la première. J’ai repris mon souffle et j’ai descendu les trois marches qui mènent à la boutique salon de thé. LA SUITE DU TEXTE EST DANS LA NEWSLETTER, ABONNEZ-VOUS!