One Thing In A French Day

Hier, c’était sortie entre filles avec mon amie Géraldine. Nous sommes allées au hammam. Nous y allons en semaine, car il y a moins de monde. L’endroit où nous aimons bien aller est assez loin dans Paris, sur les hauteurs de Belleville, dans le XIXe arrondissement. Nous prenons rendez-vous à dix-huit heures pour un gommage et un massage. Ce jour-là, mon mari rentre plus tôt pour que je puisse partir à 17h15 maxi. Ensuite, c’est un peu la course. La suite du texte dans la NEWSLETTER, abonnez-vous

Ce matin, nous avons reçu deux commandes que nous attendions avec impatience. La première est celle du livre de mon père. Pendant plus d’un an, il a préparé le récit en dessins de ses souvenirs de jeunesse, de 1944 à 1961. Le livre comporte plus de 180 dessins. Une vraie BD. Son premier souvenir date de la fin de la Seconde Guerre mondiale alors que sa famille habitait Chalon-sur-Saône. Des avions anglais passent en rase-motte, ils sont là pour détruire un train de munitions. Mon père a trois ans. La suite du texte est dans la NEWSLETTER, abonnez-vous!

Ce matin, je suis retournée à l’école de Lisa. Je faisais partie des mamans accompagnatrices pour la petite sortie à la bibliothèque du quartier. Nous étions trois mamans et nous attendions que la classe sorte par la grille à l’arrière de l’école. Les enfants sont arrivés et nous nous sommes réparties le long du rang. Arrivés devant bibliothèque, Supermaître a rappelé la consigne : — Dans la bibliothèque, on chuchote ! La suite du texte est dans la NEWSLETTER, abonnez-vous!

Ce matin, j’avais rendez-vous chez le coiffeur. J’avais rendez-vous de bonne heure, à 9 h 30. J’ai pris le train tout de suite après avoir accompagné les filles à l’école. C’était un peu comme si j’allais au boulot. Dans le train, j’ai aperçu une maman que je connaissais, mais il y avait trop de monde pour que nous puissions nous rejoindre. On s’est simplement fait signe. C’était la première fois que j’allais dans ce salon de coiffure dont j’avais lu beaucoup de bien sur un blog que je suis. A Saint-Lazare, j’ai pris la ligne trois. Il était 9 h 10. La suite du texte est dans la NEWSLETTER, abonnez-vous!

— Maman, comme aujourd’hui c’est mardi et que demain on va pas aller à l’école... J’ai regardé Micaela avec attention. Quand l’introduction est longue comme ça, c’est qu’elle veut me demander quelque chose qui n’est pas facile à obtenir. — Et puis comme j’ai été sage. Micaela a commencé à se tortiller. — Est-ce qu’on pourrait faire comme samedi soir ? a-t-elle finalement lâché. La suite du texte est dans la NEWSLETTER, abonnez-vous!

Hier, 16 h 18, j’ai quitté la maison en courant pour aller chercher les filles à l’école. J’ai marché vite, poussant la poussette de Lisa, avec dedans le sac du goûter rempli de pain et de chocolat. Lorsque je suis arrivée près de la maternelle, j’ai croisé la nounou d’une petite fille de la classe de Lisa. Cette dame, qui me dit toujours bonjour avec un grand sourire, est mon repère. En fonction de l’endroit où je la croise, je sais si je suis en retard ou très en retard. La suite de la NEWSLETTER est dans le texte, abonnez-vous!

Cet après-midi, j’ai vu mon amie Natasha. Elle m’avait proposé de prendre le thé dans un salon de thé chinois proche de Saint-Michel. Nous nous sommes retrouvées à Odéon. — C’est un endroit où tu es déjà allée ? lui ai-je demandé alors que nous remontions la rue Dauphine. — Non, mais je suis passée plusieurs fois devant. L’endroit était spartiate, une grande pièce sombre, et quelques tables au fond, sur une estrade. Il n’y avait qu’un seul client, plongé dans la lecture d’un journal. La suite du texte est dans la NEWSLETTER, abonnez-vous!

Ah, mercredi. La journée avec les filles, la journée qui ressemble souvent à un marathon. Toutes les semaines, je dis à mon mari : c’est fini, je ne sors plus le mercredi. Et toutes les semaines, il y a quelque chose. Une visite chez le docteur, un atelier de cuisine, une invitation. Aujourd’hui, la matinée s’annonçait tranquille. Les filles jouaient dans leur chambre, je rangeais le désordre. Felicia chantonnait. — Pot Texas, il y a un garçon... la la la, lala. Pot Texas, il y a un garçon, qui a une chemise à carreaux. La suite du texte est dans la NEWSLETTER, abonnez-vous!

Ce matin, un mauvais enchaînement a fait que j’ai croisé trois personnes de suite que je connais de vue et qui ne m’ont pas dit bonjour. Je les aurais croisées à trois moments différents, cela m’aurait agacée, mais sans plus. Mais les croiser toutes à la suite, c’était déprimant. Tout cela se passe à l’école, bien sûr. La première personne est une femme qui me disait bonjour de temps en temps parce que lorsque je la croisais avec sa fille cette dernière me souriait et disait toujours « C’est la maman de Lisa ! ». La suite du texte est dans la NEWSLETTER, abonnez-vous!

A Noël, nous nous étions acheté une boîte de chocolats chez Gilles Cresno et nous les avons mangés en famille. Un petit rituel s’était instauré. A la fin de chaque repas, Felicia, la plus gourmande dès qu’il s’agit de chocolat, nous faisait un petit sourire coquin en demandant « On prend un chocolat ? ». A ce signal, Lisa se mettait debout sur son tabouret. La suite du texte est dans la NEWSLETTER, abonnez-vous!

Micaela a commencé un cours de théâtre au début de l’année scolaire. Le cours a lieu le mercredi après-midi, à seize heures. Sa meilleure amie y est également inscrite. Elle habite à trois minutes à pied de chez nous. Il y a deux petites rues à traverser pour y aller. Depuis deux mois maintenant, Micaela rejoint son amie chez elle toute seule. Cela faisait longtemps qu’elle me le demandait et cela me semblait raisonnable. Elle a huit ans maintenant et je sais qu’elle est prudente. Lorsque j’ai dit oui, elle a eu un tel sourire! C’était comme si un espace de liberté s’offrait à elle et surtout comme si elle se sentait comprise. Cela m’a beaucoup touchée. La suite du texte est dans la NEWSLETTER, abonnez-vous!

Hier matin, j’ai reçu le contrat de location pour Dieppe où nous retournerons cette année au mois d’août. Les filles en avaient très envie et c’est vrai que c’est une solution pratique à la fois pour moi qui serai seule avec elles et pour mon mari qui viendra le week-end en train depuis Paris. Ceci étant réglé, j’ai pu consacrer cinq minutes aux vacances de Pâques. La maison où nous étions l’année dernière nous avait beaucoup plu. Elle était située à Lannion, sur la colline de Brélévenez, derrière la chapelle. La suite du texte est dans la NEWSLETTER, abonnez-vous!

Pour mon anniversaire, celui de 2012, mon amie Gabriella m’avait offert un bon cadeau pour un cours de photo. J’ai mis du temps à l’utiliser, je l’ai même perdu et retrouvé, mais ça y est, j’ai fait mon cours de photo. Je ne sais toujours pas prendre une photo à la tombée du jour (ça serait trop simple), mais je sais faire autre chose que le mode automatique. Le cours avait lieu dimanche dernier, il était consacré à la profondeur de champ. La suite du texte est dans la NEWSLETTER, abonnez-vous!

Ce matin, en allant à l’école, les filles ont remarqué un mot accroché sur la porte d’entrée de l’immeuble. Micaela, la seule qui sache vraiment lire était en train de déchiffrer l’écriture manuscrite lorsque je suis arrivée. — Maman, quelqu’un a perdu des lunettes rouges ! C’est écrit ! J’ai lu à mon tour le mot. Un voisin signalait qu’il avait trouvé une paire de lunettes d’enfant. La suite du texte est dans la NEWSLETTER, abonnez-vous!

Notre convoi ne devait pas passer inaperçu, les filles criant en chœur le nom du petit chat de Géraldine. — Je sais qu’il reconnaît son nom, m’a dit Géraldine, ou au moins ma voix, car la dernière fois qu’il s’était perdu je l’ai retrouvé en l’appelant et il a surgi d’un buisson. C’était près des tennis, mais cette fois, je crois qu’il est parti beaucoup plus loin. La suite du texte est dans la NEWSLETTER, abonnez-vous!