Quatre heures de concentration




One Thing In A French Day show

Summary: Tout à l’heure, je profitais de la sieste des filles pour relire le dossier qui m’a été remis la semaine dernière, à l’occasion d’une formation sur le droit d’auteur. Cette formation était proposée par l’association de gestion agréée à laquelle j’ai adhéré. En tant qu’adhérente d’une association de gestion, je peux bénéficier d’un abattement fiscal intéressant. Cette disposition a pour but d’inciter les professionnels indépendants à mieux se former en matière de comptabilité. Et donc, en tant qu’auteur, j’ai été invitée à participer à cette formation sur le droit d’auteur. La formation était animée par deux experts comptables spécialistes du sujet. Ils nous ont parlé des aspects fiscaux et sociaux du droit d’auteur. Par exemple, les auteurs et les artistes ont une sécurité sociale qui leur est propre, très avantageuse, mais à laquelle il est difficile d’être accepté. D’ailleurs ce n’est pas mon régime, je ne rentre pas dans le cadre! Nous étions une bonne vingtaine de personnes présentes ce jour-là. Nous nous sommes tous présentés au début de la formation. Il y avait des photographes, des web designers, des graphistes, des illustrateurs, une traductrice et une peintre qui était également architecte. J’ai appris certains points très intéressants, notamment pour mon amie Aude en Bretagne qui fait de la sculpture. Les deux intervenants parlaient chacun leur tour, en s’appuyant sur des diapositives projetées sur le mur depuis l’écran d’un ordinateur portable. On pouvait poser des questions si un point nécessitait des éclaircissements. C’était donc très bien, mais après quatre heures de formation, j’avais un puissant mal de crâne. Je suis rentrée à la maison aux heures de pointes, serrée dans le métro, debout dans le train et, pour couronner le tout, il pleuvait. Parfois, je suis bien contente de travailler chez moi. AU SOMMAIRE de One thing in a French day PLUS (la newsletter du podcast) Découvrir la newsletter : http://j.mp/IqZWz8 Pendant les vacances, la newsletter prend un format plus léger. Aujourd'hui, je vous propose de nous pencher sur le vocabulaire de ce texte.